La Guest dispose d’une grosse quizaine de chambre avec des prix correct (7€ la nuit).
L’accueil et l’organisation sont tenues par 2 mecs, un petit qui sourit jamais et un grand benêt. Ces deux bêtes de travaille sont tout le temps surmenées et dirige le lieu d’une main de fer. Regarder des videos sur youtube, reparer le verrou de la porte au bout d’une semaine, preparer le petit dej (2 croissants et un morceau de pain, sortir des tasses et de la confiture, oublier de brancher la cafetière), ranger les chambres ha non c’est les femmes de menages qui s’en occupent, oublier de reveiller les clients, ne pas nettoyer la cuisine ...
Bref un endroits pas cher et bien situé mais pas très propre. Cependant, des fois une femme très souriante et aimable était à l’accueil, ce qui nous changeait un peu de Grand Benêt et son copain jamais content.
On mange un morceau et on embarque dans un bateau bus. Dans le navire, se mèlent touristes et habitants.
Durant la demi-heure de trajet, le bateau descent le fleuve qui serpente le long de la ville. On passe le long de quelques minis plages, on longe un port, puis un parc d’attraction qui est le long de l’eau. En s’incerant dans les terres, on aperçoit des bateaux et structures a l’abandon, echoués dans la flotte. Les berges sont envahies d’arbres et de vegetation bien vertes, c’est charmant. On finit par descendre et le bateau repart. A plus tard …
On traverse un petit pont qui chevauche un canal, puis on s’aventure au hasard sur des chemins le long de l’eau, sans trop savoir où l’on va. Et c’est très bien comme ça ! On marche tranquillement, en discutant, s’arretant de temps en temps pour admirer les sacrées baraques sur pilotis.
C’est très calme et vraiment reposant, ça donne envie de se mettre dans un hamac et de dormir en attendant le soir pour manger un barbeuc …
"Là une bonne bière bien fraiche ça m’irait bien”, et bien c’est justement ce qu’on fait en se posant à l’ombre dans un petit jardin.
Je savais que se serait une bonne journée.
On reprend le chemin du retour et, n’ayant pas les horaires, l’attente du bus fut longue. Puis de retour en ville nous reprenons le train où on pionce comme des feignasses.
De retour en ville, le soir on se rince le ventre dans resto parilla libre. Le lendemain on s’apercevra que le patron est une belle enflure qui veut un peu nous entuber, on y remettra plus les pieds.
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